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S'inspirer et rester branchés!17-02-2022 / Nouvelles
Après Roxana Giraldez en janvier dernier, c’est maintenant au tour de Tanya Lauzière, notre stratège en marketing numérique international, de célébrer ses dix années au sein de l’équipe de CQI. Tanya, notre « créative » par excellence, passionnée de tout ce qui touche le Web, s’ouvre sur son parcours et sa vision du domaine des communications numériques.
TL – Je suis graphiste de formation et j’ai aussi suivi des cours en publicité à l’Université. J’ai travaillé pendant 18 ans en agence, chez Absolu. Du début de la startup, à sortir les poubelles nous-même jusqu’à travailler avec près de 70 personnes, j’ai fait beaucoup de mandats de création et de communication, à divers postes, sur à peu près tout.
TL – Quand j’ai commencé chez CQI, j’étais agente aux communications, alors je travaillais sous la direction des communications. C’était vraiment ce que je voulais faire : interagir avec les clients, communiquer avec eux de toutes sortes de manières. Il y avait beaucoup moins de moyens numériques à l’époque : pas vraiment de médias sociaux, Facebook débutait, il n’y avait pas toutes les commodités d’aujourd’hui. Quand on pense à la production vidéo du temps par exemple, cela mobilisait beaucoup plus de moyens et de ressources.
Au fil du temps, avec divers collègues, nous avons développé le service de stratégie Web. Ça m’intéressait beaucoup, j’avais des aussi des notions dans ce secteur, auquel on a pu marier les communications et offrir ce service aux entreprises clientes de CQI.
Aujourd’hui, en tant que stratège en marketing numérique, puis en travaillant aussi avec mes collègues stratèges, nous sommes capables de vraiment faire le tour, d’analyser et de propulser les communications de nos clients à un niveau supérieur en matière de contenu, de message, dans les différents médias, toujours dans le but de favoriser leur processus d’exportation à l’international. Mes mandats sont principalement en stratégie Web à l’international auprès de notre clientèle, via notre service Léko.
TL – Définitivement une personnalisation encore plus grande, non seulement pour de grandes lignes du marché, mais même individuellement, pour aller chercher vraiment ce que le client souhaite, de la façon dont lui veut communiquer avec nous. C’est vraiment une grande tendance et c’est ça qui est intéressant pour moi à observer : qui, dans l’avenir, sera capable d’adapter à la fois son produit, mais aussi son message et de connecter vraiment, avec des gens d’un peu partout dans le monde.
Pour bâtir une bonne stratégie de communication numérique, nous avons maintenant accès à une multitude d’informations qui font que l’on peut vraiment tenir compte des différences culturelles et s’intéresser aux façons de faire des différents pays où l’on veut exporter. Les médias numériques nous aident beaucoup dans nos recherches.
Puis, il y a des ressources qui sont intéressantes dans nos réseaux qui nous permettent de valider les stratégies de nos clients. Je me souviens de gens en Belgique qui nous ont permis de valider les façons de faire là-bas, avant de les proposer à notre client. La technologie d’aujourd’hui est facilitante et le réseau des membres de l’équipe de CQI à l’international est aussi très fort.
TL – Commencer par la base, tout simplement. La première chose que les gens regardent, c’est le site web. Donc évidemment, il faut qu’il soit traduit en anglais au minimum, et ce, dans un anglais approprié au marché que l’on vise. Est-ce que le marché est américain, britannique ou canadien ? Il existe des nuances importantes dont il faut tenir compte. C’est encore mieux si l’on est capable de traduire le site dans la langue du pays que l’on vise, que ce soit en allemand, en espagnol ou encore en mandarin.
Il est important également de faire l’inventaire de tous nos outils de communication. Des fiches techniques doivent être adaptées, tout comme certaines mesures sont à transformer au format métrique ou impérial. Les listes de prix doivent être converties afin d’aider le client à avoir la bonne information. À chaque étape du processus de vente, il faut être capable de faciliter l’interaction avec lui.
TL – Oh ! C’est loin ça dans 10 ans ! En y pensant bien, je me verrais un peu partout en fait. Maintenant que le télétravail donne la possibilité d’une certaine mobilité, je me verrais bien travailler, assise à une table dans un café italien, près du Salone del Mobile à Milan, bien branchée et connectée à nos clients chez CQI. Je serais vraiment partante pour faire ça : aller m’informer pour eux, directement là-bas, puis de faire rayonner nos entreprises d’ici.
Par Roxanne Huard, coordonnatrice des communications
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